Histoire de la cuisine : Les Croissants
ET OUI LE CROISSANT N’EST PAS D’ORIGINE FRANÇAISE, MAIS AUTRICHIEN.
C est grâce au boulangers viennois.
En 1683, les Autrichiens repoussent l’assaut des Turcs contre leur capital. Les mitrons, qui travaillaient de nuit, ont donné l’alerte. Alors en récompense, leur roi a autorisé à fabriquer des viennoiseries en forme de croissant, qui est l’emblème des Turcs.
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On daterait son origine à 1683 où, pendant que les Turcs assiègent Vienne, un boulanger prénommé Adam Spiel donne l’alerte au moment d’une attaque ottomane à l’aube qui permet de repousser l’envahisseur. Pour commémorer cette victoire, de petits croissants appelés Hörnchen furent confectionnés par les boulangers de la ville, rappelant ainsi la forme du symbole ottoman2. À Paris, les premiers croissants sont vendus au no 92, rue de Richelieu, entre 1837 et 18393, quand les Autrichiens August Zang et Ernest Schwarzer y ouvrent la Boulangerie viennoise. Leurs versions des kipferl (en forme de croissant) et des kaisersemmel (pain kaiser ou petit pain de l’empereur) ont vite inspiré une foule d’imitateurs et le croissant est déjà cité en 1850 comme un pain habituel.
Toutefois, les historiens de la gastronomie et de la cuisine française constatent que la recette actuelle du croissant n’est devenue un symbole culinaire français qu’au XXe siècle
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Croissant_(viennoiserie)
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